Nous avons demandé à plusieurs acteurs et actrices du livre des conseils de lecture jeunesse ou adultes, des pépites, des découvertes à placer impérativement sous le sapin ou à offrir autour de soi ! Voici ceux de David Bry !
Mes Premières Lectures : Bonjour, et merci de prendre la parole sur le site ! Qui êtes-vous ?
David Bry : Bonjour ! Je suis David Bry, auteur d’une dizaine de romans dans les littératures de l’imaginaire, que ce soit fantasy, uchronie ou anticipation.
Mes Premières Lectures : Quels sont vos coups de cœur et découvertes à glisser impérativement sous le sapin cette année ? (récents ou non !)
David Bry : L’année 2020 a été terrible sur bien des plans, mais il reste heureusement (comme souvent) la lecture ! Et, à ce niveau là, elle a été plutôt chouette.
Je retiens de mes lectures de cette année Les derniers des branleurs de Vincent Mondiot (Vincent Mondiot, toujours aussi juste quand il parle de l’adolescence), Le chant d’Achille de Madeleine Miller (une magnifique replongée dans l’Antiquité, la guerre de Troie, l’amour de Patrocle et d’Achille) et enfin un coup de cœur énorme pour Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers de Benjamin Alire Sáenz, un roman jeunesse sur l’adolescence, la quête de sens, de soi, de l’amour, l’image de soi. J’ai adoré, adoré, adoré.
Mes Premières Lectures : Sur quoi travaillez-vous actuellement ?
David Bry : Mon tout dernier roman La princesse au visage de nuit sorti en octobre dernier (juste avant le reconfinement…), j’avance sur mes deux prochains projets.
Le premier est une série de romans fantasy destinée à la jeunesse (10-12 ans), dont le premier tome sortira au printemps prochain, aux éditions Nathan. La série s’intitule Les héritiers de Brisaine, et le premier opus La malédiction du Bois d’Ombres. On y suivra les aventures de trois jeunes héros qui, confrontés à une malédiction menaçant leur village, vont devoir faire preuve de beaucoup de courage… et d’un peu d’inconscience, aussi ;).
Mon second projet est également de la fantasy, en roman adulte cette fois. J’aime la tragédie. Toujours. Autant. Après Que passe l’hiver, roman de tragédie « froide » où la violence et les complots se cachent, j’ai voulu une tragédie plus « chaude », pleine de batailles, d’amour et de rage. Je suis en pleine écriture de cette histoire. C’est un véritable bonheur.
